• J'ai survecu. Oui, je suis là, derrière mon PC avec une admirable - horrible - gueule bouffie et jaunâtre [ oui, en ce moment, je fais pas dans le glamour ], mais vivante ! Bref, depuis Samedi, c'est l'accumulation de stress et autres problèmes. Non, on peut pas dire que le moral soit au beau fixe et j'aimerai un peu, mais juste un peu de repos et de calme -__-"... de la detente que diable !

    Mais bon, il semblerait qu'en ce moment, ce ne soit pas au programme, et pas encore prévu non plus pour la fin du mois.

    Je passe mes journées à glander, alors que gisent sur mon lit de nombreux bouquins qu'il faudrait que je pense, ne serait-ce qu'à effeuiller. C'est un veritable cafarnaüm cette piaule O_O : des jeans, des chaussettes, des feutres, mon téléphone (à moitié détruit d'ailleurs, avec un gros bout de scotch marron), des trucs bizarres, des mouchoirs, des... bref, un bordel monstre. Horrible ambiance !

    Coté dessin, c'est pas non plus l'extase, j'fais ce que j'peux, mais pas c'que j'veux comme on dit...

    Je passe les épreuves d'admissiblité d'Angoulême pour la seconde année consécutive, bon, je sais à quoi m'attendre maintenant. Ce sera pour le Mercredi 5 Mai !

    P.S. : Oh, mon blog aura 2 ans demain ! ^u^


    2 commentaires
  • Dimanche. Raah...


    Hier je suis rentrée de Paris où j'avais été pour passer ce vendredi dernier le concours des Gobelins. Pour vous donner un ordre d'idée, j'avais rendez-vous à l'espace Charenton ou j'allais passer le plus claire de mon temps dans une salle sans fenêtre (bravo à ceux et celles qui ont relever le subtil jeu de mots). Nous étions environ 2oo personnes en section Concepteur/réalisateur de films d'animation, j'étais le numéro 77 (oui, c'est assez réducteur), mais bon, j'étais assise en face des chiottes, donc ca compense. En premier lieu, nous avons eu une épreuve de Logique de la perspective et du mouvement (je vais pas désespérer, mais c'est justement ce sur sur lequel je me debrouille le moins bien, pour pas dire pas du tout), bref, on avait une série de 4 exercices :

    - Redessiner un carré et un triangle dans un miroir posé à plat sur le sol.
    - Finir la trajectoire d'une balle de tennis en respectant la vitesse du mouvement de celle-ci et en anticipant les rebonds et leur vitesse.
    - Trouver le mouvement intermediaire d'une journal emporté par le vent.
    - Redessiner un personnage qui courait (et qu'on voyait de dos), dans un miroir (donc qu'on était censé voir de face).

    Ensuite, nous avons eu trois heures de ce qu'on appelle communement Model sheet, où l'étude de personnage. On a eu droit à la décomposition du mouvement d'Alex de Totally Spies qui ramassait une pierre et qui courait, ainsi que Noah Parker d'Atomic Betty qui mangeait une glace, puis faisait une course de sac.

    Dans un troisième temps, nous avons eu une heure de scénario, puis 3 heures de Storyboard sur le rat des villes et le rat des champs de Lafontaine.

    Ben...J'ai trouvé ça assez intense et difficile. =( Mais bon... on verra bien les résultats.

    Mis à part ça, j'ai pu voir une de mes amies et avoir de bons délires.

    P.S. : Naaan !! Je hais le tome 23 de FMA !! T____T et j'aime pas le mois d'Avril >o< !


    votre commentaire
  • Oui, alors pour commencer, je vous annonce fièrement que je suis prise à Lyon, à Toulouse (non sans avoir piqué une colère intérieure phénoménale contre la directrice après mon entretien)  et également à Clermont-Ferrand. Petit bémol : Et oui, dans le privé, on vous encule bien profond pour être polie, car il faut, pour finaliser l'inscription, verser un acompte (qui est retiré des frais de dossier) de 6oo euros ou 45o euros selon les établissements ! Bien sur, cet argent vous est retiré dans tout les cas de figures (hormis mort prématurée et ratage de baccalauréat) : hors, tant que je n'ai pas reçu les réponses des autres écoles, je ne peux pas me permettre de verser inconsciemment de telles sommes, de peur d'avoir de gros regrets par la suite.

     

     

    Bref. Cette semaine, c'est le concours écrit des Gobelins (autrement dit la plus grande école concernant l'image) auquel je me frotte, sur Paris. Je vous raconterai tout ça, car ça promet vraiment d'être amusant... Rendez-vous après le 10 avril ! xD !

    Une très forte envie de cuisiner japonais m'envahit en ce moment ! (Gyozaaa ♥)


    1 commentaire

  • .........Kézako ?.........

     

    Un Doppelgänger, c'est quoi ?

    Tout d'abord, je vais prendre une définition bateau (qu'on peut trouver un peu partout sur le net, et qui présente ces êtres dans leur généralité) :

    Doppelgänger est un mot d'origine allemande signifiant "sosie", employé dans le domaine du paranormal pour désigner le double fantomatique d'une personne vivante, le plus souvent un jumeau maléfique (vive Wikipédia). 

    Soit, le Doppelgänger est un double maléfique : on peut le retrouver dans la vie quotidienne quand on a un choix difficile à faire, le plus souvent entre une option raisonnable et une autre plus passionné comportant des dangers. C'est le petit diable (la passion/l'emportement) et le petit ange (la raison/le contrôle de soi) que l'on voit sur les épaules des personnages de dessins animés si vous voulez.

    Dans le folklore (vive Wikipédia le retour), le doppelgänger n'a pas d'ombre et son image n'est pas reflétée par un miroir ou l'eau. Il est supposé donner des conseils à la personne qu'il imite, mais ces conseils peuvent induire en erreur et être malintentionnés. Ils peuvent aussi en de rares occasions semer la confusion en apparaissant devant les amis et proches de leur victime ou en induisant des idées dans l'esprit de leur victime.

    Le Doppelgänger dans mon histoire.

    Comment né-t'il ?

    Bref, comme vous avez pu le constater pour parler Doppelgänger, il faut deux personnages. Hors, dans mon histoire, ce Doppelgänger se met en place dans un contexte policier : Prenons un humain. il est un. Cet humain est confronté à un moment de sa vie à faire un choix (précisons que le choix en question est extrême car il s'agit de commettre un meurtre). A partir du point où cette idée germe dans son esprit, son Doppelgänger prend vie : il est sont esprit criminel si vous voulez. Si l'homme commet le meurtre, son Doppelgänger prend sa place en tant qu'âme dominante (ca veut dire qu'il grandit et c'est lui qui contrôle le corps de l'homme, l'âme de ce dernier étant relégué au second plan). Si au contraire, l'homme ne commet pas le meurtre, son âme reste au premier plan, mais le Doppelgänger reste dans l'ombre (elle peut ressurgir à tout moment mais est la plupart du temps très faible et ne depasse pas le stade de la pensée).

    Admettons que l'homme ait commis le meurtre. Il développe en lui un seconde entitée : le Doppelgänger. Ce dernier grandit à un rythme humain. On peut dire qu'il à l'âge de la personne qu'il l'a engendré. Ca devient en quelque sorte un jumeau (et vous savez que dans une paire, l'un est soumis et l'autre dominant, et non je ne parle pas de relation SM xD !).

    L'apparence du Doppelgänger

    Son apparence physique est celui de la première personne que l'homme a assassiné (le cas sera visible avec les personnages de Leonore et d'Alister). Mais malgrè cette apparence, le Doppelgänger n'a rien de la personnalité du defunt. Il est le concentré de mal de la personne auquel il appartient.

    Exemple :

    Lemon (Leonore Mongath) <= "Gentille" (pour faire simple xD)
    Alister (Son Doppelgänger) <= Esprit criminel pur et dur de Lemon <= Pas gentil du tout



    10 commentaires